« The CEO » est un film racontant l’histoire de cinq membres du personnel supérieur d’une entreprise sélectionnés pour une retraite au cours de laquelle le nouveau PDG d’une entreprise mondiale sera choisi. Ce qui commence comme cordial va vite mal tourner alors qu’ils tentent de se surpasser pour se faire nommer PDG. Le film a été réalisé par le nigérian Kunle Afolayan. Dans la liste des acteurs on retrouve Angélique Kidjo, Wale Ojo , Jimmy Jean-Louis , Hilda Dokubo , Nico Panagio , Aurélie Eliam , Peter King Nzioki Mwania , Fatym Layachi, Kemi Lala Akindoju
Sorti le 4 Mai 2016, le film est maintenant disponible sur Netflix
L’actrice, femme d’affaires et militante des droits de l’homme sud-africaine Nomzamo Mbatha rejoint le casting de « Coming 2 America », une suite de la comédie de 1988 dans laquelle jouait Eddie Murphy.
Mbatha sera la vedette aux côtés des acteurs de la première version du film, Eddie Murphy (Prince Akeem), James Earl Jones (King Jaffe Joffer), Shari Headley (Lisa) et Arsenio Hall (Semmi).
Les nouveaux membres de la distribution comprennent Jermaine Fowler, Wesley Snipes, Tracy Morgan, Leslie Jones, KiKi Layne, Rick Ross, Teyana Taylor et Garcelle Beauvais.
Elle a fait l’annonce sur les réseaux sociaux et a reçu de nombreux messages de félicitations.
Rappelons qu’elle a débuté en tant que candidate à un concours TV et est devenue en peu de temps, une des plus grandes stars sud-africaine. Nomzamo a été nommée Ambassadrice de bonne volonté du HCR en janvier 2019.
Chris Evans, après son rôle de Captain America, joue dans le prochain film de Netflix « The Red Sea Diving Resort » en tant qu’agent secret menant une opération de sauvetage en Éthiopie.
Le film est basé sur la véritable histoire de 1981 dans laquelle des agents du Mossad israélien ont travaillé pour sauver des Juifs-Éthiopiens du Soudan alors qu’ils faisaient face à une persécution religieuse.
Le personnage de Chris Evans et ses collègues doivent trouver un plan pour venir en aide aux centaines de réfugiés ayant besoin d’être sauvés.
Après la diffusion du trailer, des remarques ont très vite fleuries: « Il n’y a aucun éthiopien dans le film », « marre des films avec des sauveurs blancs » ou encore des plaintes sur l’accent éthiopien mal imité.
The day white people/Hollywood realizes that people from different countries of Africa have different accents is the day I'll start taking their films about Africa seriously. This is just awful filmmaking. Should have stuck to fictional African countries @ChrisEvans@netflix
« Le jour où les Blancs / Hollywood se rendront compte que les habitants de différents pays d’Afrique ont des accents différents est le jour où je commencerai à prendre au sérieux leurs films sur l’Afrique. C’est juste un film horrible. »
« Je ne sais pas ce qui me choque plus. le casting non éthiopien, l’accent non éthiopien ou le ton du «sauveur blanc». Mais je vais quand même le regarder car il concerne l’Éthiopie. »
Have y'all ever actually MET an Ethiopian?? 😂😂 We don't talk like that! How you gon make a movie ABOUT Ethiopians WITHOUT any Ethiopians?! 🤔 And the timing is interesting with the Israelis harassing and killing Ethiopian Jews right now an all. Also, @ChrisEvans, baby why?? 😭
« Avez-vous déjà rencontré un Ethiopien? 😂😂 On ne parle pas comme ça! Comment allez-vous faire un film sur les éthiopiens sans éthiopiens? 🤔 Et le timing est intéressant, les Israéliens harcelant et tuant des Juifs éthiopiens actuellement en un tout »
Le Red Sea Diving Resort est prévu pour le 31 juillet
Le film The 600 a été présenté pour la première fois à Kigali lors d’une cérémonie à laquelle assistait le président Paul Kagame, la Première dame, et divers hauts responsables.
Le film raconte en détail les événements survenus à Kigali au cours des 100 jours du génocide de 1994 contre les Tutsi et le rôle joué par 600 soldats de l’Armée patriotique du Rwanda (APR) stationnés à Kigali pour arrêter les massacres. Il est basé sur des récits réels racontés par de vraies personnes, alors que quelques scènes des massacres ont été reconstruites.
Le film a été réalisé par Great Blue Productions, propriété de Richard Hall, qui est également le producteur exécutif et A-WIZE MEDIA dirigé par Anette Uwizeye, coproducteur.
40 Rwandais ont travaillé directement sur le film, tandis que 50% des interviews portaient sur des civils sauvés et 50% sur des anciens combattants de l’APR, principalement ceux qui étaient bloqués derrière les lignes ennemies au Parlement.
Le film est diffusé au public depuis le vendredi 5 juillet.
Kunle Afolayan, l’acteur, producteur et réalisateur nigérian a révélé que son film «Mokalik» et certaines de ses autres œuvres avaient été acquises par le géant de streaming américain Netflix. «Mokalik», qui met en vedette Simi , Femi Adebayo et Charles Okocha , raconte l’histoire d’un garçon de la classe moyenne de 11 ans qui devient apprenti dans un atelier de mécanique.
Afolayan a partagé l’actualité dans une interview avec NAN . Il a ajouté que Netflix n’avait pas encore annoncé la date de sortie du film et il a choisi de ne pas divulguer la somme payée par Netflix pour l’acquisition.
Fabrice Sawegnon, patron de l’agence Voodoo Communication à Abidjan a annoncé la sortie d’un film inspiré d’une partie de sa vie. « Jusqu’au bout » est un film réalisé par Hyacinthe Hounsou et est prévu pour le 2 Août prochain. Il en a lui même parlé sur les réseaux sociaux:
Synopsis: « Cette nuit là, lorsqu’il rencontre par hasard le commissaire Djama, Patrice GBOKEDE replonge douloureusement dans un passé qu’il pensait enfoui à tout jamais. Porté par l’amour et la soif de justice, il fera face au commissaire pour faire éclater la vérité gardée sous silence 30 ans plus tôt par ce dernier. »
Stéphane Zabavy, Ange Éric N’guessan et Bienvenue Néba font partie du casting du film qui a été principalement financé par Fabrice Sawegnon lui-même avec sa boite FS Production.
« The German King » est un film consacré à l’histoire de Rudolphe Douala Manga Bell qui était le roi du peuple Douala au Cameroun pendant la période coloniale allemande. Il était le chef de la résistance contre l’expulsion des Douala de leurs maisons ancestrales.
Petit résumé du film tiré du site auletch:« The German King », c’est un fragment d’histoire de la vie de Rudolphe Douala Manga Bell. Après ses études de droit, il rentre au Kamerunstadt ( Douala) en 1896. « The German King », c’est un fragment d’histoire de la vie de Rudolphe Douala Manga Bell. Après ses études de droit, il rentre au Kamerunstadt ( Douala) en 1896. À la mort de son père en 1908, il devient le chef du clan des Bell. Lorsqu’en 1910, Théodore Seitz, gouverneur allemand lance son projet d’urbanisation dit « Gross Duala», Rudolphe Douala Manga Bell s’oppose à celui-ci. Pour la simple raison que le projet avait pour but d’exproprier les Duala de leurs terres. Une situation qui allait en violation du traité germano-Duala signé en 1884 par un collectif de chefs traditionnels qui avait à sa tête le roi Dicka Mpondo .
Aux commandes de ce biopic, Adetokumboh Frederick Mc Cormack, un jeune acteur de nationalité Créole de Sierra Leone.
Ci-dessous un extrait du film.
Les 1ères images du court-métrage autour de Rudilf Duala Manga Bell "The German King" sont là, réalisé par Adetokumboh M'Cormack avec @cejuma 😉 pic.twitter.com/T3NEXPAbBt
— Le Film Camerounais (@LFCamerounais) June 21, 2019
Le FESPACO en Europe, c’est le nom donné à cette manifestation dont la toute 1ère édition a lieu à Bruxelles début Mai et se poursuit à Paris au Cinéma Christine 21, 4 Rue Christine (Paris 75006) du 15 au 17 Mai 2019.
Les films sélectionnés pour l’occasion sont un savant mélange de films primés et non primés de l’édition 2019 du FESPACO.
Afin de rester fidèle aux valeurs de la Mémoire (thématique principale de la 26ème édition du Festival Panafricain du Cinéma et de la Télévision (FESPACO) qui s’est tenu à Ouagadougou du 23 février au 2 mars 2019.
Un grand film classique et restauré a été également intégré à la programmation. Les cinéphiles parisiens pourront ainsi découvrir (ou redécouvrir) Soleil Ô de Med Hondo, cinéaste franco-mauritanien décédé un peu plus tôt cette année et dont le film avait reçu le Prix de la Critique Internationale lors du Fespaco de 1971.
Ce sont en tout 6 longs-métrages qui sont proposés aux amateurs du cinéma africain dont les étalons d’argent (Karma en présence du producteur), de bronze (Fatwa en présence du réalisateur) et l’étalon d’or documentaire (Le Loup d’or de Balolé en présence de la réalisatrice).
Le Délégué général du Fespaco, Ardiouma Soma inaugurera la manifestation.
Au sujet du FESPACO
Aujourd’hui considéré comme le festival de cinéma africain le plus important au monde, Le Fespaco (le festival panafricain du cinéma et de la télévision) est une biennale qui a été créée en 1969 à Ouagadougou à l’initiative d’un groupe de cinéphiles. Le Fespaco est aujourd’hui administré par l’Etat du Burkina-Faso. La 26ème édition de ce festival a eu lieu du 23 février au 2 mars de cette année.
Pour célébrer le mois de la Femme mais également à but promotionnel,Wouri TV – principale plateforme de streaming dédiée au cinéma camerounais – a décidé de mettre en ligne l’intégralité du long-métrage « Miranda« , réalisé par Blaise Ntedju.
À Hollywood comme dans d’autres pays industrialisés, la période des fêtes de fin d’année est un moment important pour les sorties de films à gros budget (l’autre période étant les vacances scolaires de juin à août). En sa qualité de 1ère industrie cinématographique du continent, Nollywood commence donc à s’aligner progressivement sur les mêmes tendances. Après « Banana Island Ghost« , une super-production sortie pendant l’été 2018, c’est la comédie « Chief Daddy » (avec un casting royal), qui a occupé le devant de la scène pour ce Noël. Je ne vous ferai pas un résumé du pitch du film (le trailer est disponible ici) mais toujours est-il que Mo Abudu, dirigeante d’EbonyLife Films – qui produit le film – a annoncé hier que pour son 1er weekend d’exploitation en salles au Nigeria, Chief Daddy aurait réalisé un chiffre d’affaires de 42 millions de nairas… soit environ 100.000€. Toujours selon elle, il s’agirait du second meilleur démarrage en salle de l’année pour un film au Nigeria, et le 5ème film produit par sa structure à être numéro 1 le weekend de la sortie. « Chief Daddy » aurait même fait mieux que « The Wedding Party », produit également par Mo Abudu.
100.000€ de recettes en un weekend en Afrique subsaharienne, c’est une performance à saluer ! Ayant vu de mes propres yeux l’engouement des nigérians pour le cinéma local lorsque je suis allée voir « King of Boys » à Lagos, je peux attester de l’intérêt du public. Ceci dit, j’ose espérer que le film fera de meilleurs chiffres sur la durée car entre la production, le casting, le marketing et autres coûts, il y a fort à parier que ce long-métrage a coûté bien plus de 100.000€. Dans tous les cas, bravo aux équipes et j’espère trouver un moyen de voir le film.
Je l’ai déjà dit: plus le temps passe, plus regarder la télévision devient pour moi, un exercice réservé aux contenus que je ne pourrais pas trouver sur la toile.
En parcourant les programmes de décembre de la chaîne A+ (Groupe Canal+), je suis tombée sur le pitch d’une série camerounaise: « Pendant les primaires, Alexis Fotso évince son beau-père et est désigné par le parti pour le représenter aux élections municipales de Yaoundé.
Sa joie est pourtant de courte durée, quand il apprend que son épouse, cooptée par le parti adverse est son vis-à-vis« .
Ladite série s’appelle « Yaoundé« , et son réalisateur est… ivoirien (Jean-Noël Bah). Quand on connaît un peu les rouages du pouvoir au Cameroun, autant dire qu’on est vite curieux de savoir comment ils seront abordés dans une fiction. Je ne connais pas grand monde dans le casting, mais ce qui est sûr, je serai devant mon petit écran dès demain pour jeter un coup d’oeil.
« Yaoundé » est diffusé du lundi au vendredi à 15h depuis le lundi 10 décembre 2018 sur la chaîne A+.
Une fois n’est pas coutume: on ouvre avec du cinéma. À la base réalisateur de clips, le jeune Josh Sounou s’est dirigé progressivement vers le grand écran et son prochain film, « Adan Kanlin« , fait déjà le buzz. Présenté comme le « 1er film d’action béninois », ce long-métrage dont la sortie est prévue dans les prochaines semaines, raconte l’histoire d’un père de famille ordinaire qui va se retrouver en conflit avec un gang. La bande-annonce de ce film impressionne par les efforts techniques qui sont clairement visibles, sans oublier le choix des dialogues en Fon, une des langues les plus parlées du Bénin. Alors bien sûr, c’est loin d’être parfait, il y a des coquilles dans le sous-titrage et beaucoup d’autres petits détails à corriger, mais il faut bien commencer quelque part ! Le Bénin n’est pas (encore) un pays à la production cinématographique extraordinaire, raison de plus de saluer les efforts de ce qui essaient.
Pour regarder la bande-annonce d’ Adan Kanlin, cliquez juste ici (ou sur l’image plus haut).