« Kids Concept », l’espace bien-être dédié aux enfants

Je suis un peu en retard dessus (puisque l’établissement a ouvert en janvier) mais je souhaitais absolument parler de « Kids Concept » ! Il s’agit du premier espace dédié au bien-être des enfants en Côte d’Ivoire. Salon de coiffure, petit espace détente et jeux sont disponibles, ainsi qu’un personnel formé spécialement pour s’occuper des tout petits.

Sara Coulibaly n’en est pas à son premier coup d’essai dans l’entrepreneuriat, puisqu’elle avait déjà créé la ligne de chaussures MyMiry à Paris, avant de rentrer dans sa Côte d’Ivoire natale où elle a notamment développé une ligne de poupées afro sur laquelle j’ai brièvement collaboré. J’ai lu quelques personnes disant « Kids Concept n’est pas original, ça existe ailleurs« . Certes, mais en attendant, ça n’existait pas à Abidjan et c’est même fou que personne n’y ait pensé avant: les enfants sont toujours coiffés dans des salons d’adultes, avec parfois des coiffeuses qui s’y prennent mal et font pleurer les enfants par leur absence de douceur lorsqu’elles tirent sur leurs cheveux fragiles. Cela pousse donc beaucoup de parents à coiffer eux-mêmes leurs enfants. Or, offrir un espace où les enfants peuvent à la fois être coiffés et s’amuser permet de joindre l’utile à l’agréable. Sans oublier que d’un point de vue commercial, les dépenses liées au bonheur des enfants sont hauts dans les priorités des parents de la classe moyenne en montant. Bref, je suis très fan de ce projet ! Une de mes très bonnes amies, qui s’y est rendue la semaine dernière avec son fils, n’a pas tari d’éloges sur le lieu et le staff. Et sans surprise, l’établissement ne désemplit pas, même les jours de semaine. Dernier point et pas des moindres: les prix sont très accessibles, allant de 3000FCFA à 30.000FCFA.

Bravo encore à Sara ! Très fière d’elle d’avoir pensé à ce positionnement. En espérant que ça marche encore plus afin qu’elle puisse vite ouvrir des franchises au sud d’Abidjan et pourquoi pas, dans d’autres capitales (Dakar, Kinshasa, Douala..).

« Kids Concept » est situé au Boulevard Latrille, à l’immeuble BATIM à Angré Château.
Téléphone: (00225) 79864285
Page Facebook

Carlia Fassi a lancé sa chaîne YouTube

Le marketing d’influence est en plein boom sur le continent africain (même si perso, je trouve que la majorité des gens s’y prennent encore assez mal). Dans ma veille sur les influenceurs basés en Afrique, j’ai pu remarquer ces derniers ont su s’approprier Facebook, Instagram, Snapchat et Twitter… mais Youtube reste encore très peu investi. Si chez les anglophones, des filles comme Sisi Yemmie (Nigeria) ou Kangai Mwiti ont su gagner leurs galons en tant que Youtubeuses, côté francophone, l’offre reste encore incroyablement faible. On peut notamment expliquer cela par deux raisons:
1 – la vidéo en direct et le partage de vidéos réalisées avec un mobile rendus possibles par Facebook sont plus pratiques que Youtube
2 – les standards de qualité lorsque l’on crée une chaîne Youtube sont très hauts. Netteté de l’image et du son, régularité des vidéos, promotion spécifique… Être Youtubeur demande beaucoup de travail et un investissement minimum (j’en sais quelque chose, ça fait des années que ça me tente mais je suis découragée face au travail que ça va me demander lol).

Au Cameroun, j’ai vu une poignée d’influenceurs se lancer avant de s’arrêter au bout de 2 vidéos, et je ne peux clairement pas leur jeter la pierre. Résultat: ce sont des camerounais(es) de la diaspora qui créent  la majorité des vidéos sur Youtube. Mais ça change petit à petit. Il y a les deux jeunes femmes de la web-série PAKGNE, qui ont réussi à créer une audience fidèle. En ce sens, je tenais également à féliciter la jeune Carlia Fassi, qui a lancé le week-end dernier sa chaîne.

Basée à Douala, elle est community manager, modèle-photo, et influenceuse Lifestyle sur Instagram. Sa chaîne sera – d’après sa vidéo de présentation – centrée (sans surprise) sur la beauté, la mode, les bons plans et les sorties dans la capitale économique du Cameroun. J’ai eu l’occasion de la rencontrer lors du concours de beauté organisé par la société Biopharma (elle était candidate et je faisais partie du jury) l’an dernier. Je lui souhaite le meilleur dans cette nouvelle aventure, et je me suis abonnée à sa chaîne. En espérant qu’elle inspire d’autres, nous manquons vraiment de contenu local camerounais/africain sur une plateforme de la taille de Youtube.

Concevoir une collection en Afrique, même sans y être ?

Pour avoir côtoyé le milieu de la mode afro depuis un petit moment maintenant, s’il y a bien un problème qui est commun à l’ensemble des designers que je connais, c’est la production. Ils veulent généralement tous produire sur le continent mais malheureusement, entre le manque de rigueur (ou de qualifications) des ateliers de production, les capacités limitées en termes de volume ou encore les problèmes de réassorts (ou de transport/d’électricité), concevoir une collection d’A à Z en Afrique subsaharienne peut s’avérer un vrai calvaire. Les choses se corsent encore plus si on a un nombre de commandes qui dépasse le millier de pièces. C’est pourquoi je me suis intéressée au projet de Liamar Caesar. Cette jeune femme de 21 ans, basée en Angleterre, est une créatrice de mode diplômée qui a décidé d’allier business éthique et technologie pour booster le « Made in Africa« . Son idée ? Créer une plateforme intitulée « Manufacture 4 Me« , où il sera possible de concevoir une collection en Afrique, même sans y être. Tel qu’expliqué dans sa vidéo de présentation:

1ère étape: on se connecte sur la plateforme et on sélectionne son prestataire sur la base d’un ensemble d’informations fournies
2ème étape: une fois le fabricant choisi, on lui envoie des croquis et on commande des samples
3ème étape: si convaincu par les samples fournis, on passe la commande
4ème étape: on reçoit sa collection (via des partenaires logistiques qui offriront des tarifs de transports avantageux)

Alors, je sais qu’il y a de quoi être sceptique, notamment pour ce qui est de la protection intellectuelle des designs, la fiabilité des délais (production et transport) ou encore la question des taxes douanières. Ceci dit, ce projet va apparemment faire ses premières phases de test au Kenya. Je vais surveiller le déploiement de ce service qui, si bien mené (et appuyé par les autorités), pourrait révolutionner la production textile africaine…comme l’a fait Alibaba en Chine.

Il reste encore un peu plus de 40 jours pour soutenir ce projet sur Kickstarter en cliquant ici.

La concurrence des chaines de télévision

TÉLÉVISION / Panafricain

Le secteur de la télévision payante, jadis la chasse gardée de deux sociétés qui se partageaient l’espace anglophone et francophone, est plus compétitif jamais. De nouveaux acteurs se positionnent dans la distribution et cela, par ricochet, crée un appel d’air en matière de besoin de contenus. La preuve, s’il en fallait encore, que la concurrence/libéralisation a parfois du bon.

Rien que la semaine dernière, j’ai appris que le site web Haute Fashion Africa un des pionniers au Nigeria dans le contenu digital dédié à la mode – a lancé sa chaîne, Haute Fashion Africa TV

 

Par ailleurs, le rappeur nigérian Olamide a également dévoilé la semaine dernière, le lancement de sa chaîne musicale, VOTS TV (Voice Of The Streets). HFA et VOTS seront toutes les deux exclusivement diffusées sur PLAY TV, un distributeur de télévision par satellite. Pour ceux qui sont hors du Nigeria, HFA sera également disponible sur mobile via l’application de télévision mobile 3Fix (Android).

Et enfin, en Tanzanie, l’artiste Diamond Platnumz – probablement la star locale la plus connue dans le pays et en dehors – a également obtenu les licences de la part du gouvernement afin de lancer sa radio (Wasafi FM) et sa chaîne télévisée (Wasafi TV).

Comme je le dis à chaque annonce de ce genre, cette multiplication de chaînes thématiques est une bonne chose… Mais il faut que le marketing suive, sinon on va se retrouver avec une liste interminable de chaînes sans audience. Pour le moment, la mesure d’audimat est encore très élevée et accessible uniquement à certains médias. Mais quand elle deviendra une condition sine qua non sur le continent pour avoir des annonceurs, certains feront grise mine.

Jungle Design

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TEXTILE / Diaspora – Kenya.

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Hermès s’inspire du Cameroun

La marque de luxe française Hermès a dévoilé de nouveaux foulards en soie inspirés par des tissus traditionnels camerounais.
Comme indiqué sur le site de la marque:
« La Fondation camerounaise Jean-Félicien Gacha possède un important fonds de tissus Ndop dont la richesse ornementale a inspiré ce carré aux Anamorphée.Les tissus Ndop des Bamiléké, habitants de la savane camerounaise, en Afrique centrale, sont faits de coton tissé en bandes étroites. Si cette première étape est réalisée dans le nord du pays, non loin de Garoua, ce sont ensuite les femmes Bamiléké qui appliquent à l’aide de fil de raphia les motifs qui seront teints en réserve à l’indigo. Le répertoire décoratif très varié s’inspire à la fois de motifs ornant les habitations traditionnelles et des dessins des Wukari du Nigeria, pays dont cette tradition textile est vraisemblablement originaire. Le Cameroun se caractérise par le choix de motifs abstraits, le Nigeria par une figuration prenant pour modèles humains, lézards, léopards… Ces étoffes sont utilisées pour différents rituels.”

Avec tous les débats qu’il y a autour de l’appropriation culturelle, je trouve ça respectable qu’Hermès ait eu la décence de préciser l’origine de ces dessins. Ceci dit, est-ce que des fonds ont été versés par la marque pour l’exploitation de ce tissu traditionnel ? Si oui, à qui ? Je n’ai pas pu trouver l’information.
En attendant, commercialisés à 360€ l’unité, ces foulards sont disponibles sur le site HERMÈSet probablement en boutique également.

Bonaventure Kalou: du football à la politique

Il y a plusieurs mois de cela, dans le cadre du tournage d’une émission-pilote, j’ai suivi et interviewé l’ex-international ivoirien Bonaventure Kalou pendant plusieurs jours chez lui, pendant des matchs entre copains et lors de ses déplacements pour des rendez-vous professionnels. D’un point de vue personnalité, il tranche énormément avec le cliché du footballeur par son calme, sa discrétion voire sa timidité. Papa poule, mari attentionné, grand frère et conseiller passionné, j’ai découvert un “Monsieur” qui n’a pas eu l’air de trop regretter sa vie d’avant. Au contraire, dans nos échanges, il m’a eu l’air très décidé quant à la suite de sa carrière. Déjà engagé dans la promotion du football local, il fait l’objet depuis longtemps de rumeur sur son hypothétique candidature au poste de dirigeant de la Fédération Ivoirienne de Football, une instance dans la tourmente ces derniers mois. Lorsque je l’ai interrogé à ce sujet, il est resté prudent mais son ambition était à peine voilée: il souhaite sortir de sa réserve d’ancienne gloire nationale pour agir à plus grande échelle. C’est donc sans grande surprise que j’ai appris ce matin qu’il se lance en politique avec comme première étape à franchir, les élections municipales ivoiriennes qui auront lieu en principe au mois de juillet 2018. Sous la bannière du PDCI (parti historique du feu Houphouët Boigny), le champion se présentera dans la commune de son père. A-t-il été inspiré par Georges Weah ? Allez savoir. Dans tous les cas, je suis pour ma part ravie qu’il se lance, même si je crains qu’il ne soit malmené par le système politique ivoirien qui est à la fois complexe et sans pitié. Ceci étant, je suis pour que des personnalités hors du sérail et issues de la société civile bousculent les codes. Peut-être que ça fera changer les choses. Parlant de cela d’ailleurs, je recommande également l’article du Jeune Afrique de cette semaine consacré à Jean-Louis Billon. Cet homme d’affaires multimillionaire nommé ministre du Commerce par le président Ouattara a été débarqué du gouvernement ivoirien en 2017, mais ça n’a visiblement pas entamé ses ambitions présidentielles, bien au contraire. 

Pour lire l’interview de Bonaventure Kalou sur sa nouvelle carrière politique, cliquez ICI.

L’article de Billboard sur les artistes africains

Le retour des grandes maisons de disques mondiales sur le continent africain continue d’alimenter les fantasmes, les conversations… et les médias. Dernier article en date: celui du géant de la presse musicale américaine, Billboard. L’article – qui se nomme “Pourquoi les maisons de disques se tournent vers l’Afrique pour dénicher la prochaine popstar mondiale” – balaie un peu tout ce qui a déjà été lu et entendu ailleurs sur le sujet mais vous pouvez y jeter un oeil par curiosité. Notamment parce qu’il y a un condensé des dernières actualités dans le secteur (le rachat du label kenyan IA Records par Universal Music Group entre autres). Pour ma part, je prône un optimisme mesuré sur cette question et ce, pour plusieurs raisons… Notamment le fait que le marché américain soit légendairement connu pour sa difficulté de pénétration lorsque l’on n’est pas un artiste local (sujet évoqué dans l’article, d’ailleurs). Si les japonais, les anglais (à l’exception d’Adele, U2 et quelques autres) ou encore les Latinos (là encore il y a quelques exceptions notables) n’ont pas réussi à dominer le marché US, je suis sceptique quant aux chances des artistes Afrobeats. Alors bien sûr, il y a une possibilité pour ces derniers d’explorer une tendance – comme cela a été le cas pour Sean Paul ou Elephant Man quand la tendance Ragga/Dancehall a dominé les ondes américaines il y a dix ans – mais ce sont généralement des cycles de courte durée. Cela ne retire en rien le mérite d’artistes comme Davido ou Diamond Platnumz, qui sont partis d’Afrique de l’Ouest/Est et côtoient désormais la crème de la musique urbaine américaine.

Dans tous les cas, vous pouvez lire l’article de Billboard en cliquant juste ICI.

Victorine Sarr lance sa marque de cosmétiques LYVV Cosmetics à Abidjan

La semaine dernière, l’entrepreneure sénégalaise Victorine Sarr a fait le lancement de sa marque de cosmétiques LYVV Cosmetics à Abidjan. Crééé en 2016, cette ligne comprend des rouges à lèvres, fonds de teints et concealers entre autres. J’ai programmé une conversation avec elle dans les prochaines semaines, où il sera question qu’elle m’explique comment elle a monté sa marque, trouvé ses fournisseurs, comment elle gère la distribution, sa clientèle-type au Sénégal et bien d’autres sujets. Bien sûr, cet échange sera enregistré et je vous communiquerai le lien en exclusivité (:p). En attendant, je voulais déjà lui faire un clin d’oeil et la féliciter pour cette nouvelle étape franchie dans son business. Lyvv Cosmetics est disponible chez Kente Sky Spa, à Cocody, mais également à Dakar, Accra et Cape Town. Vous pouvez également acheter la marque en ligne sur AwaleBiz.